La mer, bataille des cieux et sous,
Se livre aux caprices des marées; Les vagues chantent, échos de l’ours, Toujours en ronde, à jamais libérées.

L’horizon s’étend, vaste et sans peine, Chaque souffle un hommage au mouvement, La douce danse, infinie et pleine, Nous met en contact avec l’aimant.

  • Théophile Gautier